Prison world

Avec: Sarah Jane Hamilton, Misty Rain, Porsche Lynn, Diva

Réalisateur: Ernest Greene

Editeur: Vivid

Durée: 120'

Format: DVD

 

{Texte}

Ernest Greene, spécialiste des films SM lesbien aux Etats Unis, nous livre un nouvel opus. L'action se situe dans un futur incertain au sein d'une institution appelée "Prison World" où de jeunes femmes viennent se livrer à des dominatrices perverses.

L'héroïne du film, miss Chandler interprêté par la délicieuse Sarah Jane Hamilton(une version rousse de Betty Page), signe une décharge pour subir des sévices (est ce que ce sont vraiment des sévices ? ) dans cette prison un peu spécial. Elle va d'abord avoir droit à un examen approffondi de sa personne, attaché sur un fauteuil gynécologique avec une longue masturbation à l'aide d'un vibro masseur futuriste. Elle a pour compagnon de cellule la superbe Misty Rain (Ah cette poitrine piercée !!!) qui sera surprise en train de jouer avec le même jouet par la directrice (jouée par Porsche Lynn) qui la puniera de la plus délicieuse des façons avec un gode translucide tout droit sorti d'un film de science fiction. Quand la directrice ne s'amuse pas à torturer ses prisonnières, elle fesse son assistante (Diva) dans son bureau. Quand aux pensionnaires, dès que la gardienne a le dos tourné, elles s'amusent entre elles (Sarah en train de faire des papouilles à sa camarade à travers les barreaux de sa cellule !!!) mais c'est sans compter sur la directrice qui va les obliger à s'exhiber devant elle avant de leur faire goûter de sa matraque d'une façon particulière et de leur faire subir d'humiliants lavements.

Toutes les figures imposées du fetichisme sont présentés dans ce film (adoration des pieds, torture des seins, flagellation, suspension......). Programme excitant me direz vous et c'est là que le bât blesse. Tout ce que je viens de vous énumérez est suggéré (même si on aucun doute sur ce que font ces demoiselles) mais aucun plan hard (une spécialité de Greene dont chacun de ses films est à la limite entre l'érostisme et le hard). Même si le film fait appel plus au cérébral qu'au visuel pur et hard du hardcore, on aimerait plus souvent voir des films de cette qualité sur la petite chaîne qui monte qui monte plutôt que les niaiseries du dimanche soir qui ne pourraint qu'exciter un taulard en manque d'affection.

Note: 2/5 pour la mise en scène pas assez hardcore selon les critères du docteur mais sans doute une vidéo qu'on peut conseiller aux couples fatigués de voir toujours les mêmes films.L'