Jill Kelly se lance à son tour dans le film 100% filles
avec sa série When the boyz are away (titre
qui ressemble étrangement à une autre série
chez un éditeur différent). Bon, je sais vous
allez me dire pourquoi ne pas avoir commencé par le
n° un. A vrai dire c'est le casting alléchant du
n° trois qui m'a attiré plus qu'un autre opus de
la série, avec en vedette la superbe, la sublime Isabella.
J'exagère à peine en utilisant ces termes élogieux.
Rien que du naturel chez elle (c'est José Bové
qui serait fier d'un tel chef d'oeuvre). C'est une brune qui
nous vient de l'ex Tchécoslovaquie comme pas mal de
bombes dans le milieu, avec des seins qui tiennent dans la
main et un visage d'ange. J'oserais la comparaison en disant
que c'est Sylvia Saint version brune. Alors vous êtes
avertis. Entre deux scènes, elle va interviewer de
jeunes femmes dans les rues de Los Angeles à propos
de leur sexualité. Rassurez vous, elle sait faire d'autres
choses avec ses mains que de tenir un micro.
On commence avec Bunny Luv et Daisy Chain. Daisy c'est la
blonde aux tatouages qui s'est révélée
dans la série 4
finger club dans une scène avec Jewel de Nyle.
Elle ne tourne uniquement que des scènes lesbiennes
donc côté nettoyage moquette, elle s'y connaît.
Bunny (qui curieusement est chatain dans cette vidéo)
fait partie de la génération montante des hardeuses.
Elle a déjà tourner pour Hustler et Metro. Elle
est à l'aise aussi bien avec les filles que les garçons.
La scène est assez moyenne. On a vite fait de saisir
la télécommande pour zapper pas mal de longueurs
(ce qui est dommage connaissant le potentiel de Bunny avec
une fille)
Vient Shay Sight, une grande brune avec des seins énormes
et une bouche pulpeuse qui se prélasse dans une baignoire
en compagnie de Jezebel, une mignonne petite brune au sexe
entièrement rasé. Shay va vite lui démontrer
les bienfaits de la pratique des langues vivantes (enfin surtout
la sienne). Attention scène extrêmement chaude.
Les plans de cunnilingus sont superbement filmés et
Jezebel déborde de sexualité (non non j'ai bien
écrit sexualité et non sensualité et
je pèse mes mots).
La scène onirique avec Isabella (Mamma mia), Charlie
et Jewel Marceau. Isabella et Jewel, vêtues de loups
et de latex se caressent sur un canapé lorsque Charlie
les surprend. Qu'importe, elle est aussitôt invitée
à se joindre à leurs ébats. Le moment
fort étant Isabella pénétrant Jewel avec
un god argenté tandis que Charlie lui taquine le petit
bouton avec un mini vibrateur.
Puis on a droit au duo Tabitha Stevens (qui est devenu brune
avec quelques kilos de silicones en plus) et la toujours très
sexy Jezebel. C'est aussi la scène la plus ennuyeuse
du film. Aucune connection entre les deux actrices. Elles
adoptent toutes les figures imposées (les godes, le
cunnilingus sur canapé) du genre mais il n'y a aucune
passion.
Scène finale avec encore Tabitha et Isabella. A l'épreuve
lèche vitrine, c'est Isabella qui le remporte d'une
courte avance sur sa partenaire du fait qu'elle n'utilise
que sa bouche et ses doigts pour faire succomber Tabitha,
celle ci qui va lui faire une démonstration du nouveau
vibro masseur à deux têtes qui fait fureur parmi
la gent féninine américaine.
Note: 3/5 Trois scènes excellentes sur cinq. Mention
assez bien mais peut mieux faire.
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